La femme est comme une rose
Douce, tu dois humer son parfum
Sentir la douceur de ses pétales
Prendre le temps de la regarder
De la voir avec les yeux de ton cœur
La femme est une fleur
Ouvrir ses pétales arrosés d’eau d’amour
De caresses, de tendresses
Lentement avec doigtée
Comme la rose,
Elle perd ses pétales avec passion
Sous un rayon de chaud soleil
Mais si elle se sent protégée
Bourgeonnera pour t’offrir son renouveau
Prenons en soin
Comme une rose, elle peut fanée
Comme une rose elle peut se courber
Et de ses épines te piquer
Prenons en soin
Cajolons cette fleur
Qu’elle reste à tout jamais
Le centre de toutes nos attentions
C’est notre trésor le plus précieux
Tu cueilles des fleurs dans ce jardin
Le visage ombragé de ton chapeau
Penchée tu choisis les plus belles
Je t’observe de mes yeux câlins
Ton corsage entrouvert découvre ta peau
Laissant voir tes seins bien ronds et naturelle
Tu restes là et avec des gestes lents
Tu poursuis ta cueillette sachant que je te regarde
Tu en tires un plaisir velouté que tu ne peux cacher
ta poitrine qui se cambre te trahissant
Tes mamelons pointent, tu n’y prends garde
prêts à s'offrir et se laisser caresser
Je glisse ma main dans ta robe, tu es comblée
Mes doigts caressent le bout de tes seins
Sans mot dire tu te laisses faire
J'en éprouve un grand plaisir qui est partagé
Monte en moi irrésistible désir de mes reins
M’entraine vers ce paradis que je préfère
Que ta main qui me touche
Constate ce que je ne peux cacher
Je profite de ce léger massage
Pour te jeter sur cette couche
De tes seins ma main descend explorer
Tu l'encourages, tu le partages
Les fleurs ont disparu de ta main
Tu te laisse faire, ton visage resplendi
Les oiseaux ont arrêtant chant
N’osant nous déranger dans notre câlin
Mais tes râles leur donnant envie
Accompagnent tes cris de leur mélodieux chant
J’aime te regarder t’endormir
Le temps passe et l’aurore naissante
Apporte ces bancs de brunes
J’ai dans les oreilles tes soupirs
Je me détourne de ces courbes alléchantes
Je fixe le couchant de lune
Dans ton sommeil tu souris
Ta main remonte tendrement vers ton sein
Je vois ton petit téton se durcir
Ton corps se détend et s’alangui
Je me retiens de ne pas te baiser l’autre sein
Je te regarde plein de jalousie
A qui penses-tu, qui vois-tu
Je souffre de ne le savoir, de ne le deviner
Est-ce moi qui te caresse à travers tes doigts
Je n’ose bouger, je me fais fétu
De ton corps je ne peux me détourner
A travers ton rêve tu t‘offres et j’en reste pantois
Tu murmures mon prénom
Tu m’appelles, me supplies, me pries
Tes jambes s’écartent sans impudeur
Je ne peux décrire se bonheur sans nom
Je me jette sur cette offrande à travers ces plis
Et de te réveiller s’effacent mes peurs
La femme est comme un vieux massif montagneux
Loin de moi l’idée de vous vexez
Mesdames, je ne suis pas aussi dédaigneux
Mais laissez moi vous conter
Je ne peux résister à ce mont
Qu’ils soient dénudés par des vents violents
Ou bien boisés comme nos forêts du Jura
Je l’envie, le désir comme un bonbon
De mes yeux, de mes doigts être caressant
Mais patient pourtant être il faudra
Je l’admire, sa vue me nourri
Je le sens, je l’hume, me délecte de son odeur
Je devine la source naissante
Je m’approche, me lâche, m’enhardie
Je ne peux retenir les battements de mon cœur
Sur mes lèvres, ma langue passante
Mon souffle se transforme en brise
Transformant cette source magique en ruisseau
Telle la senteur des fleurs de printemps
Cette odeur me pousse à la bise
M’emporte dans un tourbillon sans mot
Qu’il est beau, qu’il est doux ce plaisir naissant
Je ne peux retenir mon désir
Je m’emporte, me désaltère à cette source
M’en abreuve jusqu’à m’en enivrer
Je m’en repais, me saoul de votre plaisir
Mais en aucun je ne veux paraitre un ours
Ma langue chéri ce petit bourgeon aimé
Puis tout s’emporte
Le ruisseau devient rivière
La rivière devient fleuve
Tout va trop vite
Le fleuve rejoint la mère
Et là
La vague de votre jouissance me submerge
M’entraine dans ma propre jouissance
Je ne suis plus maitre de moi
Je me laisse porter par votre plaisir
Je me noie dans votre bonheur
Cachez ce sein que je ne saurais voir
Quel Tartuffe a bien pu prononcer cette phrase ?
Qu’ils soient petits, en poires, gonflés, un peu flasques ou bien rond
Faut-il vraiment se vouer à tous les seins
Mais oui bien sûr
Imaginer cette main caressant ce sein
Le sentir frémir sous cette caresse
Glisser doucement le doigt sur l’auréole
Suivez cette courbe de la main
Mais attention, surtout pas de paresse
De votre bouche, mettez ce petit téton en geôle
Allons mesdames, laissez vous aller
Sentez-vous cette plume vous parcourant
Durcissant vos petits tétons.
A votre plaisir, Laissez-vous aller,
Aucune arrière pensée de votre amant
Remplaçant la plume par un glaçon
Lequel des deux prenant le plus de plaisir
Vous mesdames en vous laissant aller
Lui en en prenant plaisir à vous faire jouir
Une seule réponse : l’important est d’aimer
Laisser une petite trace de votre passage
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