J’aime te regarder t’endormir
Le temps passe et l’aurore naissante
Apporte ces bancs de brunes
J’ai dans les oreilles tes soupirs
Je me détourne de ces courbes alléchantes
Je fixe le couchant de lune
Dans ton sommeil tu souris
Ta main remonte tendrement vers ton sein
Je vois ton petit téton se durcir
Ton corps se détend et s’alangui
Je me retiens de ne pas te baiser l’autre sein
Je te regarde plein de jalousie
A qui penses-tu, qui vois-tu
Je souffre de ne le savoir, de ne le deviner
Est-ce moi qui te caresse à travers tes doigts
Je n’ose bouger, je me fais fétu
De ton corps je ne peux me détourner
A travers ton rêve tu t‘offres et j’en reste pantois
Tu murmures mon prénom
Tu m’appelles, me supplies, me pries
Tes jambes s’écartent sans impudeur
Je ne peux décrire se bonheur sans nom
Je me jette sur cette offrande à travers ces plis
Et de te réveiller s’effacent mes peurs
Décembre 2024 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | ||||||||||
2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | ||||
9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | ||||
16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | ||||
23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | ||||
30 | 31 | |||||||||
|