Ma princesse est allongée sur la plage
Offrant son corps aux rayons du soleil
Je la regarde, l’admire, la caresse du regard. La désir
A ses cotés, moi son petit page
Je me gorge de cette merveille
Je me nourris jusqu’à plus faim de ce plaisir
Soudain une ombre passe sur la dune,
Son corps frémi, mais reste endormi
Je n’ose bouger de peur de la réveiller
Virevoltant dans l’air, je me saisi de cette plume
J’en caresse son bout de sein qui durci
Dans son sommeil, elle soupir et se met à rêver
Je promène cette plume légère sur son corps
Je descends de son cou entre ses seins
Puis encore plus bas, de plus en plus doucement
Quel plaisir, quelle joie, après tous ces efforts
Dans son sommeil elle se caresse de sa main
Son corps se couvre de frissons lentement
Son plaisir montant, couvrant son visage
Ses doigts se perdent dans cette rivière naissante
Ses seins durcissent, ses cuisses s’ouvrent
Je ne peux détacher mes yeux de ce magnifique paysage
Je me réjouis de la voir si indécente
Chaque jour, chaque heure, je la redécouvre
Ses doigts caressent son bouton, son corps se tend
Ses râles se font de plus en plus sourds
Je n’en peux plus, ma main lâche la plume
Je ne bouge plus, je la regarde, j’attends
L’air autour de nous devient soudain plus lourd
Elle se donne à son rêve sous les premiers rayons de lune
La jouissance l’emporte, souligne sa beauté
Je suis en admiration, et ne peux détourner mes yeux
Son corps se relâche, se détend
Sur ses lèvres un sourire apparait
Elle ouvre les yeux et baisse son regard, elle le veut
De sa bouche, elle me libère de se feu si brulant
J’aimerai être une petite souris
Pour ma petite chatte chérie
A tour de rôle féline ou mutine
Je me ferai pour toi toute câline
Jouant de tes griffes à bon escient
Entre tes pattes, je sais être patient
Tu me griffes, tu me caresses
Mais toujours en tendresse
Comment ne pourrais-je résister
Sur mon corps à tous tes baisers
Tu me tiens, je ne peux bouger
Mais qu’il est bon de s’abandonner
Tenir pour ne pas te décevoir
Résister pour continuer à recevoir
Mais je ne peux, je m’abandonne
Il faut que tu me pardonnes
Je vais me cacher dans ta grotte
Telle une abeille pour butiner ta motte
Je te sens perdre la raison
De ton plaisir tu acceptes mon pardon
Je remercie mes deux souris (qui se reconnaitrons) pour m'avoir donné l'idée de ce texte et que je dédie à ma tendre Dame chérie
Allonger sur ce lit tu te repose.
Mes yeux n’ont de cesse
De découvrir ce corps.
C’est un appel à la prose
Un appel aux caresses
Et je n’ose bien à tort
Tu étires ce corps tout alangui
Je me réjouis de cette vision
Impudique tu écartes les draps
Je me glisse au bord du lit
Je sens en moi monter cette passion
Vers toi s’étend mes bras
Un doigt, puis deux Une langue,
Ton corps frissonne, répond
Tes seins tes jambes se tendent
Tout vacille et de plaisir je tangue
Je descends doucement vers ce bouton
Dans ton sommeil tu en redemande
Je ne peux résister à ce tourbillon
Je m’enivre de cette liqueur
Tu te complet dans cette aisance
C’est avec tes petits petons
Que tu me m’entraines à cette saveur
Je me délecte de cette jouissance
La tigresse sort ses griffes
Besoin de chasser
D'être caresser
Loin de ce récif
La proie se sait perdue
Ne cherche à s’échapper
A-t-elle vraiment perdu
Elle ne fait que s’abandonner
Ton odeur, je dévore
Ma langue te goute
Mon regard t'envoute
Serai ta féline encore
La proie sent ses dents
Mais la langue apaise les morsures
Son regard l’hypnotisant
La proie subit et endure
Guerrière et rebelle
Ma liberté retrouvée
Mon festin savouré
Mon instinct reste fidèle
Chancelante, pantelante
La proie reste lasse
Tant de jouissance sans attente
La tigresse abandonne sa chasse
Suis une tigresse
Tout en délicatesse
Pour ta tendresse
Non sans adresse
La proie tout en caresse
Tout en tendresse
Avec toute son adresse
Oublie sa détresse
Petit poème écrit à deux avec plaisir pour votre plaisir
Une chambre au bord de la plage
Un après midi de chaleur torride
L’air emplit d’une odeur de coquillages
Allongé sur ton lit toute humide
T’offrant à mon regard plein de désir
Un souffle de brise venant du large
Caresse ton corps et te fait frémir
Telle la marée montante venant du large
Dans ce fauteuil, mes yeux posés sans remord
Sur tes doigts caressant tes seins
Jaloux de cette brise caressant ton corps
Sentant mon désir monter des reins
Tu me regardes gonfler de désir
Prisonnier de ton envie et plaisir
Qu’il est dur de ne pouvoir se caresser
Pour t’offrir ma jouissance tant aimé
Les rayons du soleil couchant t’illuminant
Je te regarde te caresser
J’écoute ton corps gémissant
J’ai mal de ne pouvoir me toucher
Ton regard dégoulinant de jouissance
Je meurs d’envie de te boire et t’aspirer
Je supplie et pleure d’impuissance
Tu gémis, jouis, qu’il est doux de t’aimer
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