Le blog de pat

Ma princesse est allongée sur la plage

Offrant son corps aux rayons du soleil

Je la regarde, l’admire, la caresse du regard. La désir

A ses cotés, moi son petit page

Je me gorge de cette merveille

Je me nourris jusqu’à plus faim de ce plaisir

 

Soudain une ombre passe sur la dune,

Son corps frémi, mais reste endormi

Je n’ose bouger de peur de la réveiller

Virevoltant dans l’air, je me saisi de cette plume

J’en caresse son bout de sein qui durci

Dans son sommeil, elle soupir et se met à rêver

 

Je promène cette plume légère sur son corps

Je descends de son cou entre ses seins

Puis encore plus bas, de plus en plus doucement

Quel plaisir, quelle joie, après tous ces efforts

Dans son sommeil elle se caresse de sa main

Son corps se couvre de frissons lentement

 

Son plaisir montant, couvrant son visage

Ses doigts se perdent dans cette rivière naissante

Ses seins durcissent, ses cuisses s’ouvrent

Je ne peux détacher mes yeux de ce magnifique paysage

Je me réjouis de la voir si indécente

Chaque jour, chaque heure, je la redécouvre

 

Ses doigts caressent son bouton, son corps se tend

Ses râles se font de plus en plus sourds

Je n’en peux plus, ma main lâche la plume

Je ne bouge plus, je la regarde, j’attends

L’air autour de nous devient soudain plus lourd

Elle se donne à son rêve sous les premiers rayons de lune

 

La jouissance l’emporte, souligne sa beauté

Je suis en admiration, et ne peux détourner mes yeux

Son corps se relâche, se détend

Sur ses lèvres un sourire apparait

Elle ouvre les yeux et baisse son regard, elle le veut

De sa bouche, elle me libère de se feu si brulant

Sam 4 sep 2010 4 commentaires
On s'y voit sur la plage, on imagine la scène. C'est tellement bien écrit qu'on vous imagine tous deux, couchés l'un à côté de l'autre, seuls sur le sable, face à la mer. Et tu te mets sur un coude pour mieux la voir, mieux l'admirer. La passion est là, palpable dans tes mots. Ta dame qui rêve, qui se fait du bien... que c'est joliment dit lorsque tu évoques une rivière naissante. Mais tu es fautif, lol. C'est ta plume balladeuse qui l'aura excitée, hi hi... On sent dans tes mots toute l'admiration, toute la fascination et tout l'amour que tu as pour ta dame. Des mots sublimes une fois encore, des rimes belles et recherchées. Une fois encore on est sous le charme, heureux de te lire comme tu ne peux pas savoir...
On débarque chez toi un peu en retard, oh ! une journée... Car on vient chaque jour ici, sauf "surbookage"... euh on dit ça ? Hi hi. Et que voit-on, le coeur réjoui ? Un nouveau poème. Ouf ! Enfin. Oui, on sait que tu y as passé pas mal de temps. Et tu as mille fois raison. Et l'oeuvre est là, splendide, troublante et émouvante.
On te l'a déjà dit, écrire un poème érotique sans sombrer dans la vulgarité est (à notre humble avis) un exercice de style délicat. Toi tu y parviens à chaque fois avec des mots justes, de belles phrases magiques et de magnifiques rimes et l'on plonge toujours avec joie et délice dans ton bel univers. Tu es un remarquable poète. On t'embrasse tout fort ! Avec infiniment de tendresse.
cerenella-et-domi - le 05/09/2010 à 16h54

Merci à vous deux, mais je crois qu'il y autant de passion et celle là plus visible sur votre blog

Vous êtes adorable

Mille bisous à Céré et bonne paluche à Domi, ce que du bonheur de vous faire plaisir

pat
j'aime ce regard............ta plume est si douce..!
baiser
S. - le 27/09/2010 à 15h11

Quoi de plus doux qu'une plume

Peut-être des doigts très agiles et alors une petite langue

Que préfère tu?

pat
pourquoi ??....tu sais pas ???
LA SOURIS - le 27/09/2010 à 19h56

Non mais j'aime te l'entendre dire

pat
NON ???
LA SOURIS - le 28/09/2010 à 14h53